La programmation

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LA PROGRAMMATION

> Une mixité de logements et d’équipements pour répondre aux besoins locaux

La volonté est de produire un quartier de ville à part entière, plurifonctionnel et proposant une mixité social de l’habitat. Le projet compte approximativement 800 logements dont 280 logements individuels (lot libre, maisons groupées), 125 logements intermédiaires et 395 logements en collectif. Cet ensemble de constructions permet d’assembler, dans un même quartier, des fonctions différentes (habitats, commerces de proximité, activités) et des populations d’horizons variés (âge, revenus, catégories socio-professionnelles.)

>Création d’un quartier des proximités

Au-delà d’un cadre de vie pour les futurs habitants, c’est la création d’un véritable lieu de vie qui est visée. Le but est de répondre localement aux besoins primaires des champholois à savoir habiter, s’alimenter, s’amuser, se rencontrer, se déplacer, travaillerPour cela la programmation urbaine et paysagère des espaces et des constructions vise à développer des proximité des toutes sortes, afin de mettre en contact les habitants entre eux mais aussi avec des acteurs extérieurs.

Afin de favoriser la diversité des programmes de logement (accession, accession aidée, locatif, locatif social), la Ville de Champhol et la SAEDEL prévoient d’accueillir un pourcentage de 37% de logements à vocation sociale dans les habitants construits.

UN PROJET MAGNIFIÉ PAR LES ATOUTS DU TERRITOIRE

>La végétalisation des espaces publics et privés

Le projet prévoit une large végétalisation des espaces publics et privés tout en prenant en compte les milieux écologiques en place.

Une partie des plantations du projet seront conduites à travers les dynamiques végétales spontanées du site. Pour les espaces proches des logements, les principes de composition de la palette végétale s’inspirent de ces dynamiques du site, et proposent une majorité d’essences indigènes de la région. C’est ainsi une palette riche de sens et d’ancrage territorial qui s’exprimera au sein du futur quartier des Antennes, symbolisant une certaine proximité avec les paysages beaucerons visibles autour. 

Les ambiances du Parc ont vocation à se diffuser et irriguer les cœurs d’ilots habités. Ainsi la végétalisation des voiries et des espaces de rencontre sera diversifiée pour rythmer les saisons par des floraisons, feuillages, fructifications… tout en favorisant l’accueil d’une micro-biodiversité au contact des logements.

>La valorisation des ressources naturelles du territoire

Dans le cadre de la ZAC des Antennes, il est mis en place un véritable « plan lumière » cohérent, à l’échelle du quartier et des rives urbaines (ou naturelles) auxquelles il se raccorde. Ainsi l’éclairage public est adapté aux différentes typologies d’espaces et leurs intensités d’usages (éclairage fonctionnel de grand axe, éclairage scénographique, d’allées piétonnes…) grâce à la technologie LED. Elle permet de mettre en place des températures de couleurs adaptées, d’abaisser la puissance la nuit, et de détecter les présences.  De plus, une optimisation de l’énergie par l’urbanisme est prévue grâce à la proposition d’un maximum de logements profitant des apports passifs du soleil. 

Une réflexion est également menée sur la réutilisation de toute autre ressource disponible sur site. Ainsi, plusieurs axes forts permettent de limiter la consommation de ressources externes au site, tout en permettant de valoriser ce qui y est déjà existant : 

  • La valorisation des espaces actuels en tarmac (ancienne piste de l’aérodrome de la base aérienne, anciens tracés d’exploitation) en aires de cheminements et de jeux,
  • La conservation des terres en remblais (merlons défensifs actuels) et leur valorisation pour la création de la butte-belvédère, 
  • La valorisation des troncs d’arbres conséquents abattus sur place, notamment par le biais possible des scieries mobiles pour la création de petit mobilier (bancs grumes, clôtures rustiques…), 
  • Le traitement des sols en place afin de limiter les apports extérieurs de matériaux concassés.

LA PROGRAMMATION

> Une mixité de logements et d’équipements pour répondre aux besoins locaux

La volonté est de produire un quartier de ville à part entière, plurifonctionnel et proposant une mixité social de l’habitat. Le projet compte approximativement 800 logements dont 280 logements individuels (lot libre, maisons groupées), 125 logements intermédiaires et 395 logements en collectif. Cet ensemble de constructions permet d’assembler, dans un même quartier, des fonctions différentes (habitats, commerces de proximité, activités) et des populations d’horizons variés (âge, revenus, catégories socio-professionnelles.)

>Création d’un quartier des proximités

Au-delà d’un cadre de vie pour les futurs habitants, c’est la création d’un véritable lieu de vie qui est visée. Le but est de répondre localement aux besoins primaires des champholois à savoir habiter, s’alimenter, s’amuser, se rencontrer, se déplacer, travaillerPour cela la programmation urbaine et paysagère des espaces et des constructions vise à développer des proximité des toutes sortes, afin de mettre en contact les habitants entre eux mais aussi avec des acteurs extérieurs.

Afin de favoriser la diversité des programmes de logement (accession, accession aidée, locatif, locatif social), la Ville de Champhol et la SAEDEL prévoient d’accueillir un pourcentage de 37% de logements à vocation sociale dans les habitants construits.

UN PROJET MAGNIFIÉ PAR LES ATOUTS DU TERRITOIRE

>La végétalisation des espaces publics et privés

Le projet prévoit une large végétalisation des espaces publics et privés tout en prenant en compte les milieux écologiques en place.

Une partie des plantations du projet seront conduites à travers les dynamiques végétales spontanées du site. Pour les espaces proches des logements, les principes de composition de la palette végétale s’inspirent de ces dynamiques du site, et proposent une majorité d’essences indigènes de la région. C’est ainsi une palette riche de sens et d’ancrage territorial qui s’exprimera au sein du futur quartier des Antennes, symbolisant une certaine proximité avec les paysages beaucerons visibles autour. 

Les ambiances du Parc ont vocation à se diffuser et irriguer les cœurs d’ilots habités. Ainsi la végétalisation des voiries et des espaces de rencontre sera diversifiée pour rythmer les saisons par des floraisons, feuillages, fructifications… tout en favorisant l’accueil d’une micro-biodiversité au contact des logements.

>La valorisation des ressources naturelles du territoire

Dans le cadre de la ZAC des Antennes, il est mis en place un véritable « plan lumière » cohérent, à l’échelle du quartier et des rives urbaines (ou naturelles) auxquelles il se raccorde. Ainsi l’éclairage public est adapté aux différentes typologies d’espaces et leurs intensités d’usages (éclairage fonctionnel de grand axe, éclairage scénographique, d’allées piétonnes…) grâce à la technologie LED. Elle permet de mettre en place des températures de couleurs adaptées, d’abaisser la puissance la nuit, et de détecter les présences.  De plus, une optimisation de l’énergie par l’urbanisme est prévue grâce à la proposition d’un maximum de logements profitant des apports passifs du soleil. 

Une réflexion est également menée sur la réutilisation de toute autre ressource disponible sur site. Ainsi, plusieurs axes forts permettent de limiter la consommation de ressources externes au site, tout en permettant de valoriser ce qui y est déjà existant : 

  • La valorisation des espaces actuels en tarmac (ancienne piste de l’aérodrome de la base aérienne, anciens tracés d’exploitation) en aires de cheminements et de jeux,
  • La conservation des terres en remblais (merlons défensifs actuels) et leur valorisation pour la création de la butte-belvédère, 
  • La valorisation des troncs d’arbres conséquents abattus sur place, notamment par le biais possible des scieries mobiles pour la création de petit mobilier (bancs grumes, clôtures rustiques…), 
  • Le traitement des sols en place afin de limiter les apports extérieurs de matériaux concassés.